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blog a propos recherche commentaires (0) 26 novembre 2009 : perdus en gare de le meux – la croix saint ouen ce vendredi soir de septembre 2006, j’ai retrouvé yann, à la gare de paris-nord pour passer la soirée chez lui dans son petit village d’esmery-hallon, dans la somme au nord de noyon, en direction de ham. nous prîmes un train corail pour maubeuge et devions changer en gare de compiègne pour un omnibus en direction de noyon. yann m’avait affirmé que l’mnibus se trouverait, comme toujours, juste en face, sur le même qua ; alors, sans regarder les panneaux d’affichage, nous avons embarqué dans l’omnibus, qui surprise, partit dans la direction de paris, celle par laquelle, quelques minutes auparavant, nous étions arrivés … par chance, le contrôleur était sympathique et nous ne payâmes pas d’amende, et nous descendîmes à la gare suivante : le meux – la croix saint ouen ; impressionnante comme gare … les quais n’y sont pas plus larges qu’une poussette d’enfant … et toutes les deux ou trois minutes la traverse un train rapide de france vers la belgique ou de la belgique vers la france, à pleine vitesse, sans s’y arrêter … il y a même un passage à niveau, rarement ouvert et quand il l’est, la file d’automobiles s’y engage rapidement, les conducteurs prenant bien soins de regarder dans les deux sens avant de s’y engager !!! enfin nous avons pu reprendre une correspondance qui cette fois nous conduisit à noyon. par chance, le voyage du retour vers paris le lendemain se fit par la route … sacré yann !!! -- posté dans non classé 0:21 commentaires (0) 8 novembre 2009 : à quelques jours de l’armistice picardie où d’abbayes en cathédrales, de châteaux forts en palais impérial, de forêts en jardins, de prés salés en vallées tranquilles, le dépaysement y est total … picardie, où fut élu le premier roi de france, où l’émotion l’emporte souvent sur la sérénité au détour d’un chemin, d’un bois, au bord d’une route, car en picardie les cimetières militaires fleurissent en plein champ comme les coquelicots symbolisant le sacrifice des soldats … picardie où les monuments aux morts comportent plus de noms gravés dans le marbre que d’enfants inscrits dans les écoles ou les habitants vivant dans les villages … chemin des dames, craonne, la malmaison, berry au bac, notre dame de lorette, vimy, rethondes, tant de noms glorieux inscrits pour mémoire en lettres d’or dans nos drapeaux, tant de noms horribles inscrits par le fer et par le feu, tant de noms terribles inscrits par le sang et par les larmes … le 11 novembre 1918, à 5hl5 du matin, les plénipotentiaires allemands acceptaient les conditions d’armistice du maréchal foch. utilisée pour la signature de l’armistice, la voiture n° 2419d avait été aménagée en bureau pour le maréchal foch par la société des wagons-lits. le wagon du 11 novembre sera installé en 1927 dans la clairière, hautement symbolique, ce wagon sera utilisé par hitler pour l’armistice de 1940, puis emporté et incendié en allemagne en avril 1945. -- posté dans non classé 17:06 commentaires (0) 6 novembre 2009 : un drole d’office de tourisme !!! un jour en me promenant entre thionville et luxembourg, j’ai découverts cette curiosité ferroviaire utilisée comme office du tourisme à longuyon; le wagon existe toujours sur le parking, je l’ai retrouvé via internet, mais repeint aux couleurs de l’europe; en voici le lien : http://www.ot-longuyon.asso.fr/ -- posté dans non classé 21:33 commentaires (0) 5 novembre 2009 : premier voyage au musée du chemin de fer à mulhouse je me suis rendu à mulhouse par deux fois, mais deux fois où je n’y habitais plus , mais je vivais à metz. la première fois, celle des photos ci-jointes, c’était à l’été 1985 et c’est en train que je fis le voyage metz-mulhouse aller-retour, en compagnie d’un retraité des chemins de fer, le « père bertrand » dont j’avais fait la connaissance dans un magasin de jouet messin, situé boulevard la fayette, près de la gare monumentale de metz. les machines qui m’y impressionnèrent, furent surtout celles de mon enfance passée au bord des voies ferrées et plus particulièrement la 230d « nord », typique des omnibus laon-reims et laon-paris, mais aussi la mystique 232u1, avec son embiellage animé, accompagné d’une bande sonore d’échappement que le « père bertrand » bien que mécanicien du réseau est reconnu non pas comme celle de la « divine », mais tout simplement comme celle d’une 141p !!! -- posté dans non classé 21:09 commentaires (0) 1er novembre 2009 : la « loco » de montigny les metz lorsque je suis arrivé à metz en septembre 1982, j’ai eu l’occasion de découvrir devant la piscine de montigny les metz, à deux pas de mon travail, perdue sur un coin de pelouse, une locomotive vapeur type 040ta ouest; mais pourquoi donc une telle machine était venue se perdre dans l’est de la france ; et puis un jour, elle a disparu … reprise par une association de bénévoles (http://train-de-la-canner-57.over-blog.com/) exploitant un train vapeur près de metz; la 040ta y roule-t-elle à nouveau ? je n’en sais rien … en tous les cas, elle n’apparait pas sur leur blog … -- posté dans non classé 19:59 commentaires (0) 31 octobre 2009 : souvenirs de metz ce samedi, le 2 octobre 1983, matin je quittais ma permanence ; j’y fus relevé par un collègue, aussi passionné que moi de trains et qui m’annonça qu’il était passé au dépôt du sablon, le quartier où nous habitions alors ma femme et moi pour y photographier deux locomotives vapeur qui devaient assurer un train spécial au départ de metz, vers saint avold; rentrant chez moi, je prenais mon appareil photo et me rendais sur le pont ferroviaire à proximité de la brasserie amos pour y faire une première série de photos des 140c27 et son tender 34x en double traction avec la 141r568 et tender 30r, qui entrèrent tender avant en gare de metz; quelques minutes plus tard, changeant de point d’observation, je me rendais sur la passerelle réservée au personnel roulant de la sncf et admirais le passage de ces deux machines, à toute vapeur et sifflets; le soir, j’entraînais ma femme en gare de metz pour retrouver une seule de ces machines, la 141r568, mais je n’avais pas pris d’appareil photo. un an plus tard, seule la 140c27 revint pour une exposition de modélisme à metz : les « olympiades des modèles réduits » et fit plusieurs voyages aller et retour en tre metz et thionville, attirant comme toujours en pareille occasion énormément de spectateurs de tout âge; -- posté dans non classé 1:34 commentaires (0) 17 octobre 2009 : mulhouse, capitale du chemin de fer je suis donc arrivé sur mulhouse en juin 1977, sans savoir que cette ville hébergeait le « musée du chemin de fer », mais à l’époque, bien que célibataire, j’avais peu de temps et surtout peu de week-ends pour fréquenter les musées, car trop préoccupé à parcourir plaines et monts d’alsace pour tester des systèmes de télécommunication. j’ai quitté cette ville en 1979 et il me faudra attendre l’été 1985 pour me rendre dans ce musée et y découvrir non seulement la 232u1, mais aussi d’autres merveilles. cette fois ci, le peu de fois où je pouvais regagner ma picardie natale, les voyages en chemin de fer étaient une véritable expédition dans le temps : départ de mulhouse le soir aux environs de 23h00, avec l’arlberg express, pour arriver sur laon, via paris est et paris nord, aux environs de 9h00 du matin, le lendemain. dans l’autre sens, c’était tout aussi long, car la quasi totalité du trajet n’était pas électrifiée et se faisait par traction diesel cc72000 sur la ligne 4, via belfort, lure, vesoul, culmont-chalindrey, chaumont, troyes. la partie la plus sensationnelle du voyage était le franchissement du viaduc de chaumont, long de 654 mètres, avec ses 50 arches, ses trois étages d’arches, surplombant à 52 mètres de hauteur, ce qui de jour provoquait toujours l’admiration des voyageurs se déplaçant dans les voitures corail pour bénéficier de la vue plongeante sur la vallée. -- posté dans non classé 18:34 commentaires (0) 10 octobre 2